Avec 1,6 million de donneurs chaque année, le don du sang est un acte de solidarité bien connu des Français. Moins connu, le don de plasma, un dérivé du sang, progresse toutefois en France, avec une augmentation de 16% en 2024 par rapport à 2023. Une croissance que l’Établissement français du sang (EFS) veut accélérer dans le cadre de son programme baptisé « Ambition plasma ». Il vise à mobiliser plusieurs centaines de milliers de nouveaux donneurs chaque année, d’ici à 2028. Arame Mbengue s’est rendue à Bobigny, en région parisienne, dans l’une des Maisons du don de l’EFS.
Le plasma, c’est le liquide dans lequel circulent les cellules sanguines telles que les globules rouges et blancs, entre autres. Il est très riche en protéines. Son utilisation sous forme de médicaments dérivés du sang ou par transfusion permet de soigner des milliers de patients.
Dans la salle de prélèvement de la Maison du don de Bobigny, située à l’hôpital Avicenne, une donneuse effectue pour la deuxième fois un don de plasma. Elle raconte ce qui l’a poussé à donner : « La première fois, c’est tout simplement parce que j’ai réalisé que j’étais en bonne santé, et je me suis dit »pourquoi pas ». Puisque je suis donneuse universelle, donc autant donner. Et la deuxième fois, on m’a recontactée, parce qu’il y avait un manque. On m’a demandé si je voulais bien venir, et j’ai dit »OK, pas de problème ». »
Pendant le prélèvement, seul le plasma de cette donneuse est extrait par la machine. Le reste du sang est immédiatement réinjecté dans son organisme, comme l’explique Alice, infirmière de l’EFS : « La machine récupère le sang et vient filtrer le plasma grâce à un retors qui vient utiliser la force centrifuge pour pouvoir filtrer les globules rouges et le plasma. On récupère le plasma et on réinjecte les globules rouges au donneur. »
Mais avant d’arriver à la salle de prélèvement du plasma, les donneurs passent d’abord par différentes étapes. D’abord un passage à l’accueil, puis un entretien médical. Une étape essentielle, pour le docteur Bayazid Belhadj-Kacem, responsable des prélèvements : « C’est pour déterminer l’éligibilité, voir si la personne prend des médicaments, si elle se fait soigner pour x maladies, si elle est rentrée d’un pays à risques, ou si elle a un comportement à risques… Si tous les voyants sont au vert, la personne est éligible au don, et elle est invitée bien sûr à donner son plasma. »
Avec son programme « Ambition plasma », l’Établissement français du sang vise à prélever un 1 400 000 litres de plasma en 2028 contre 870 000 litres en 2024. Un enjeu de souveraineté sanitaire pour la France, qui importe des médicaments dérivés du sang.
Laure Bouguignat, directrice de l’EFS Île-de-France, nous dit l’importance des dons français : « On a besoin de plasma pour fabriquer des médicaments issus de ce plasma. Pour l’instant, la France est loin d’être autosuffisante, et elle dépend, en fait, de ce qui est collecté au niveau des États-Unis pour la fabrication des médicaments dérivés du sang. »
Le don de plasma est réalisé uniquement dans les maisons du don de l’EFS et sur rendez-vous, partout en France métropolitaine. Toute personne âgée de 18 à 65 ans peut faire un don de plasma tous les 15 jours.
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Le don de plasma est un acte de solidarité qui progresse en France, avec une augmentation de 16% en 2024 par rapport à 2023. L’Établissement français du sang (EFS) a lancé un programme appelé « Ambition plasma » pour accélérer cette croissance et mobiliser plusieurs centaines de milliers de nouveaux donneurs chaque année d’ici à 2028. Le plasma est un liquide riche en protéines qui est utilisé pour fabriquer des médicaments dérivés du sang, qui permettent de soigner des milliers de patients.
Le processus de don de plasma est semblable à celui du don de sang, mais avec quelques différences. Les donneurs passent par un entretien médical pour déterminer leur éligibilité, puis leur plasma est extrait par une machine qui utilise la force centrifuge pour séparer les globules rouges et le plasma. Le plasma est ensuite récupéré et les globules rouges sont réinjectés dans l’organisme du donneur.
L’EFS a pour objectif de prélever 1 400 000 litres de plasma en 2028, contre 870 000 litres en 2024. Cet objectif est important pour la souveraineté sanitaire de la France, qui importe actuellement des médicaments dérivés du sang des États-Unis. La directrice de l’EFS Île-de-France, Laure Bouguignat, souligne que la France a besoin de plasma pour fabriquer des médicaments issus de ce plasma et que le pays est actuellement loin d’être autosuffisant.
Le don de plasma est réalisé uniquement dans les maisons du don de l’EFS et sur rendez-vous, partout en France métropolitaine. Toute personne âgée de 18 à 65 ans peut faire un don de plasma tous les 15 jours. Les donneurs peuvent se rendre dans l’une des maisons du don de l’EFS pour effectuer un don de plasma et contribuer à l’objectif de l’EFS.
Les donneurs de plasma sont motivés par différents facteurs, tels que le désir de aider les autres ou de contribuer à la recherche médicale. Une donneuse a expliqué qu’elle a décidé de donner son plasma après avoir réalisé qu’elle était en bonne santé et qu’elle pouvait aider les autres. Elle a également été recontactée par l’EFS pour donner à nouveau en raison d’un manque de plasma.
Le programme « Ambition plasma » de l’EFS vise à sensibiliser les gens à l’importance du don de plasma et à encourager les donneurs à participer à cette action solidaire. L’EFS travaille également pour améliorer les conditions de don et pour rendre le processus plus convivial et plus accessible aux donneurs.
En résumé, le don de plasma est un acte de solidarité important qui progresse en France, et l’EFS travaille pour accélérer cette croissance et atteindre l’objectif de prélever 1 400 000 litres de plasma en 2028. Les donneurs de plasma contribuent à la fabrication de médicaments dérivés du sang qui permettent de soigner des milliers de patients, et leur participation est essentielle pour la souveraineté sanitaire de la France.
L’EFS encourage les gens à se renseigner sur le don de plasma et à participer à cette action solidaire. Les donneurs peuvent se rendre dans l’une des maisons du don de l’EFS pour effectuer un don de plasma et contribuer à l’objectif de l’EFS. Le don de plasma est un acte simple et sécurisé qui peut sauver des vies, et l’EFS est là pour accompagner les donneurs tout au long du processus.
En outre, l’EFS travaille pour améliorer les conditions de don et pour rendre le processus plus convivial et plus accessible aux donneurs. Les donneurs peuvent se sentir en confiance en sachant que leur plasma est utilisé pour fabriquer des médicaments dérivés du sang qui permettent de soigner des milliers de patients. Le don de plasma est un acte de solidarité qui peut avoir un impact significatif sur la vie des patients qui ont besoin de ces médicaments.
Enfin, l’EFS encourage les gens à se renseigner sur le don de plasma et à participer à cette action solidaire. Les donneurs peuvent se rendre dans l’une des maisons du don de l’EFS pour effectuer un don de plasma et contribuer à l’objectif de l’EFS. Le don de plasma est un acte simple et sécurisé qui peut sauver des vies, et l’EFS est là pour accompagner les donneurs tout au long du processus. Alors, pourquoi ne pas donner son plasma et contribuer à la fabrication de médicaments dérivés du sang qui permettent de soigner des milliers de patients?
